Je n’utilisais pas de CRM jusqu’à tout récemment. Même si je connaissais les avantages. Deux choses me freinaient. La première: il faut de la rigueur et ce n’est pas ma plus grande force. La deuxième: il faut investir du temps et je n’aime pas le perdre. D’ailleurs, les chiffres en terme d’adoption ne sont pas reluisants. Pour ne pas aider ma cause, j’ai une bonne mémoire alors il est relativement facile pour moi de m’en passer. Sauf que…
J’ai pris conscience que les clients s’accumulent (yé!). J’ai constaté que je suis en contact avec de plus en plus de monde: via les réseaux sociaux ou ce blogue, via les rencontres de réseautage et 5 à 7, via les conférences et formations que je donne. Je me suis demandé: « le social est-il en train de me tirer vers le fond ?« . Submergé par une multitude de demandes fusant de toutes part, j’avais l’impression d’avoir perdu ma boussole.
J’étais donc prêt à donner au CRM une seconde chance. Par un heureux hasard, Adrien O’Leary – collaborateur au WEB2BIZ – m’a suggéré un livre de Perry Marshall qui venait tout juste de sortir: 80/20 Sales and Marketing. À sa lecture, le déclic s’est fait! En misant sur le 20% qui donne 80% des résultats, je pouvais augmenter mes chances en terme d’adoption et m’assurer de ne pas perdre mon temps.
Tout le monde peut utiliser un CRM
Ma conclusion pour tous:
En intégrant le « 80/20 » à la relation-client, tout le monde peut utiliser un CRM, incluant les travailleurs autonomes, les entrepreneurs et les petites équipes. Le temps à investir n’est plus une barrière.