La semaine dernière, j’ai lu un tweet de Weird History parlant de l’origine du terme Freelance. Un Freelance était un chevalier mercenaire qui fournissait ses propres armes (c’est-à-dire des lances) dans les années 1800. Aujourd’hui, il désigne les travailleurs indépendants de multiples domaines. La montée de l’internet au cours des dernières années a eu un impact certain sur le nombre d’adeptes.
J’ai toute de suite esquissé un sourire en faisant un lien avec la (plus ou moins nouvelle) tendance du BYOD (Bring Your Own Device – Apportez vos appareils personnels), une pratique qui consiste à utiliser ses propres équipements technologiques.
N’est-ce pas ?
Les chevaliers se faisaient forger leurs propres lames pour leurs combats, à la différence des soldats dont l’équipement était fourni. Mais je crois que c’est les termes anglosaxons en acronym, qu’ils ne connaissaient pas…Du moins, il parlait optimisation et non pas bien etre au travail….
Tous les mercenaires pratiquaient le BYOD.
Le BYOD, c’est juste un terme pour faire beau…. Si les vikings avait débarqués sur nos plages en hurlant qu’ils pratiquaient le BYOD, ils n’auraient pas été crédibles….
Pour moi le BYOD, c’est de la poudre au yeux…. devoir emmener ses outils personnels pour effectuer du meilleur travail et faire croire à l’employé que c’est révolutionnaire et un avantage pour lui….LOL Le but étant de faire travailler ses employés sur ses propres outils histoire de les rendre connectés à son travail. (cela à ces avantages et ces inconvénients).
En tout cas, c’est génial de l’avoir souligné dans un article (j’avais pensais à cela également, étant amateurs de moyen age et de chevaliers lol).
Bonjour Thomas,
D’accord pour les Vikings, mais je ne crois pas que le BYOD soit de la poudre aux yeux. Il s’agit d’une tendance. Pourquoi forcer un employé à utiliser une autre technologie alors qu’il en maîtrise déjà une autre – souvent plus performante ?
Personnellement, il fût un temps où j’avais 2 cellulaires parce que mon employeur de l’époque voulait que j’utilise le sien… Même chose pour un ordinateur ou un logiciel. Et même une chaise (mais c’est une tout autre histoire – il faudrait faire le parallèle avec un cheval ?).
Cela dit, ma compréhension du BYOD n’est pas de forcer l’employé à utiliser ses propres outils mais de laisser plus de liberté aux employés qui veulent utiliser leurs propres outils.
Merci pour ton commentaire.
Oui, certe, je suis d’accord.
Mais dans ces cas là, pourquoi ne pas inviter l’employé a utiliser à titre personnel ses outils de travail fournis pas l’entreprise? (En lui laissant le choix de la technologies : apple, android etc.).
En effet, les employés considérent le BYOD comme un droit plutot qu’un réel avantage.
L’utilisation de son propre matériel va emmener de nouvelles règles encadrant son utilité, et donc, la liberté d’utilisation de ces effets personnels en sera affectée (hypothèse).
Tout dépends de la logique dans laquelle le BYOD est mis en place. Personnellement, je n’ai pas encore rencontré ce nouveau mouvement dans le cadre de mon travail. D’ou ma « rétissence ». D’après mes lectures, le monde professionnel est tout de même partagé sur le sujet.
PS: très bon blog au passage, je me suis inscris à l’infolettre 😉
Ce serait effectivement l’idéal. Mais ont-ils l’argent et les infrastructures pour faire le soutien informatique ? Certaines entreprises oui. La plupart probablement que non.
Tu as entièrement raison pour les règles. Les TI voudront encadrer l’utilisation pour s’assurer de la sécurité des données et des équipements et c’est normal. Mais ils ont plutôt tendance à vouloir surprotéger.
Il est certain que chaque entreprise devra analyser sa situation et déterminer le juste compromis entre demandes d’employés et impératifs à respecter. L’éducation sera également importante – il n’y a qu’à penser aux fameux mots de passe.
Merci pour ton inscription!