La Méthode Harada permet d’atteindre les objectifs que l’on se fixe, qu’ils soient personnels ou professionnels. J’ai déjà parlé sur ce blogue du contexte qui me l’a fait connaître. Aujourd’hui, je vous partage une série de vidéos faites avec Walter Van Praet, celui qui a traduit le livre en français. Il nous parle entre autres de la méthode, de l’impact qu’elle peut avoir sur les individus et de qui peut en bénéficier le plus.
Qui est Walter Van Praet?
Tout d’abord, j’ai demandé à Walter de nous en dire un peu plus sur lui. Avant de faire de la consultation et d’offrir du coaching en lien avec la Méthode Harada, il a travaillé plusieurs années dans le secteur du crédit et des cartes de paiement.
Comment avez-vous découvert la Méthode Harada?
Le hasard fait bien les choses. Walter Van Praet a rencontré Jim Lippens lors d’une formation en gestion de projet. Ce dernier lui a parlé de la Méthode Harada, livre qu’il avait lui-même traduit en néerlandais.
D’où est venue l’idée de traduire le livre en français?
Voyant que le livre n’existait pas encore en français, il a saisi l’opportunité de le traduire suite à la lecture de celui-ci. La méthode était en lien avec sa philosophie de management.
Vous avez utilisé la Méthode Harada pour ce projet de traduction?
Quoi de mieux que de mettre à profit les enseignements de la méthode elle-même. Walter Van Praet a utilisé la Méthode Harada pour le projet de traduction. Cela lui a permis d’atteindre les objectifs qu’il s’était fixés.
Comment est-elle née?
Monsieur Van Praet revient sur l’origine de la méthode, telle que présentée par Takashi Harada et Norman Bodek dans le livre.
Quel est le point de départ?
Il serait facile de penser que le point de départ est l’objectif que l’on se fixe, mais ce n’est pas le cas.
Et ensuite?
Après avoir effectué les exercices de conscience de soi, il est maintenant temps de penser à son objectif.
Avez-vous un exemple de « service aux autres »?
L’un des éléments différenciateurs de la méthode est l’inclusion d’un volet « service aux autres ». J’ai demandé à Walter de présenter un exemple.
Incite-t-elle au final à « faire le bien »?
À petite échelle, les avantages sont nombreux. Pour soi, dans un premier temps, mais aussi pour ceux que l’on sert.
Elle peut donc avoir un impact à grande échelle?
Si beaucoup de personnes s’y mettaient en même temps, il pourrait y avoir des retombées systémiques.
Qui peut en bénéficier?
Dans les vidéos précédentes, nous avons indiqué qui pouvaient bénéficier de la méthode. Mais Walter voulait préciser quelque chose.
Comment permet-elle l’atteinte des objectifs?
L’un des outils de la Méthode Harada s’appelle la Carte aux 64 tâches.
Une dernière chose à ajouter?
Walter Van Praet précise les circonstances de nos premiers échanges à propos de la Méthode Harada.
Vous pouvez contacter Walter Van Praet si vous avez des questions ou si vous désirez acheter le livre.